Depuis le Paléolithique il y a des traces datées de plusieurs milliers peut-être dizaines de milliers d’années avant J.C. dans le territoire, qui rendent témoignage avec ses monuments mégalithes (quelques dolmens et deux menhirs) qu’ils donnent des preuves pour une population en ce temps.

Depuis le Moyen Age au moins on trouve le nom « Brignogan ou Brignaugan » comme une désignation d’un hameau de la commune et paroisse de Plounéour-Trez et aussi connu comme site portuaire, port de Pontusval.

Les recherches étymologiques parlent d’une provenance de vieux breton « bre ou bri » (colline, flanc de montagne, falaise)  en combinaison avec « ogan » qui va indiquer un nom propre, un nom de famille.

Ce hameau, qui pourrait être situé à la hauteur de la mairie de nos jours, son nom devenait un terme collectif pour d’autres hameaux autours comme le Garo, le Scluz, Naod Hir ou Créac’h Bihan.

Jusqu’à 1934 on restait d’être hameau de Plounéour ; ensuite un procès de démembrement laissait devenir une commune autonome, qui était jumelée encore avec son « chef-lieu d’antan » pour former une commune nouvelle par le 01.01.2017.

Ce dernier procès voudrait typique pour l’histoire et le développement du tourisme en Bretagne. A partir de la fin de 19ème siècle il y avait une confrontation entre les « modernes », qui pensaient identifier les chances économiques trouver des revenues nouveaux et ceux, qui voulaient laisser tous au bon vieux temps.

Il faut souligner que juste à ce temps-là et ainsi que du passé plus lointain la population de cette région était connue comme extrêmement pauvre, même méprisée comme des ramasseurs de Goëmon et avec une réputation très mauvaise d’être des naufrageurs impitoyables au littoral.

Alors au début du 20ème siècle tous les choses vont se développer ; on était desservi par une voie ferrée de Landerneau, une route nationale RN170 venant de Quimper terminait à Brignogan (déclassée aujourd’hui « D770 »). Mais on restait une petite et paisible localité, toujours dominée par des villas de vacances et des résidences secondaires. A partir des années des soixante-dix et début quatre-vingt il voudrait très clair que la population et le rôle de cette commune va maigrir. Le développement actuel en formant une commune nouvelle et un peu plus performante se rend compte des besoins d’aujourd’hui.

Histoire du Tourisme